Le drame s’est produit hier samedi dans la la sous-préfecture de Niagassola, préfecture de Siguiri.
Après l’éboulement survenu à Norassoba en février 2019, qui avait coûté la vie à 17 mineurs, cet autre drame a présenté un bilan officiel de 7 morts, tous des hommes, selon les informations.
Dans le district de Kodjoulén, situé à 150 kilomètres de la commune urbaine de Siguiri, où l’acte s’est produit, était une zone pourtant interdite par les autorités locales, nous remonte un confrère qui a cité Mamoudou Kéita, chef traditionnel de la mine.
Selon lui, les autorités ont fourni des efforts afin que la zone soit sous contrôle permanent mais, en vain.
Abdourahmane Doré